jeudi 31 octobre 2013

Monolithes




Sculptures surnaturelles façonnées par les vents d'altitude. 

Photos : Monts Bucegi, Roumanie, octobre 2013

mercredi 30 octobre 2013

Cota 2000


De la ville de Sinaia, le téléphérique monte à une altitude de 2000 mètres. De là, débute ma marche de 26 kilomètres sur le plateau des monts Bucegi et mon entrée en Transylvanie. (Flk)  


Photos : Monts Bucegi, Roumanie, octobre 2013

mardi 29 octobre 2013

La vie est ailleurs


Il est deux cents millions d'hommes, en Europe, qui n'ont point de sens et voudraient naître. L'industrie les a arrachés au langage des lignées paysannes et les a enfermés dans des ghettos énormes qui ressemblent à des gares de triage encombrées de rames de wagons noirs. Du fond des cités ouvrières, ils voudraient être réveillés. 
(Extrait du livre : Terre des hommes, Saint-Exupéry, 1939)  

Photo : Bucarest, Roumanie, octobre 2013

lundi 28 octobre 2013

Pe străzile din București



Je me rendais à Bucarest pour une semaine de travail avec les collègues du réseau international des travailleurs de rue de Dynamo ( http://travailderue.org/fr ).
Un endroit ciblé de façon stratégique pour la tenue d'une telle rencontre lorsqu'on sait qu'en 2013 environ deux mille d'enfant vivant dans la rue à Bucarest.
Une courte soirée en compagnie d'une travailleuse de rue de l'organisme Parada         
http://www.paradaromania.ro/index.php ) a permis d'être en contact avec une réalité cru, celle de familles vivant dans des maisons abandonnées improvisées en squats ou dans des égouts de la ville. Pour une seule et unique sortie de rue, pas d'appareil photo, mais des images bien tangibles de la réalité de milliers de personnes. (Flk)


       
Photos : Bucarest, Roumanie, octobre 2013

dimanche 27 octobre 2013

Bienvenue à Bucarest


On comprend bien vite, lorsqu'on arrive à Bucarest, qu'il ne s'agit pas d'une destination romance. Satellite de l'union Soviétique jusqu'en 1989, la Roumanie est aujourd'hui un enfants pauvre de l'union européen. Un amalgame étrange des vestiges de la longue dictature communiste et de la modernité promise par l'arrivée du capitalisme. La chute d'un dictateur amène inévitablement un grand flot de promesses de jours meilleurs. 
Mais si vous parlez avec un Roumain, et il vous fera bien vite comprendre que rien n'est totalement noir ou blanc et que les libertés du capitalisme laissent souvent pour compte ceux qui avaient déjà bien peu sous le régime de Ceauescu. (Flk)




Photos : Bucarest, Roumanie, octobre 2013