dimanche 23 janvier 2011

Colores de la vida...

Vêtements et tissus traditionnels mayas, encore portés par la majorité d'entre eux, sont l'expression de la culture d'un peuple profondément ancrée aux racines et fondements de la vie.

Demain matin, je serai en route pour le Guatemala afin d'accompagner un groupe jeunes. Loin d'être mon premier départ pour ce coin du monde, ce sera mon 6e passage en terre Maya. Mais chaque fois que j'y passe, je vis un contact imprégnant avec ce pays et j'y redécouvre de nouvelles façons de voir et de comprendre ces gens. D'abord, un voyage vers un peuple et une culture riche en valeurs et en couleurs, mais encore plus, pour ces jeunes, un premier voyage vers la confrontation des perceptions, des peurs et des limites des frontières intérieures. À bientôt... (Flk)

mardi 18 janvier 2011

La table tournante


«Entre le lit défait et la table tournante
Je tourne en rond, je fais c’qui m’tente
J’ai la mémoire, le momentum
Le cœur bat comme un beat de drum...»
(Table tournante, Vincent Vallières)


Moment précieux d'imprécis dans le non-dit. Se concentrer sur le senti. Pousser l'aiguille sur le vinyle et savourer l'instant d'idylle... (Flk)

lundi 17 janvier 2011

À lenteur d'homme...

Un vieil homme marchant vers je ne sais où, en cette journée pluvieuse de novembre. Quels sont les nuages qui habitent ses pensées alors qu'il avance d'un pas lent...?
...Prendre la vie et suivre le rythme qu'elle impose aux choses. Dans l'odeur des saisons qui balaient vers l'arrière le passé, laissant place à l'avenir, sachant trop bien que demain ne sera déjà bientôt plus qu'un souvenir.
Marcher à lenteur d'homme, jusqu'au bout de ce chemin qui nous est propre... (Flk)


Photo : Sans Gimignano, Italie, novembre 2010

vendredi 14 janvier 2011

Massacre à l'Harmonica

«♪...Je tue de la musique dans mon harmonica
Je ne sais pas jouer et je n’y pense pas
J’ai les deux yeux fermés, je tire n’importe quoi...

...Il faut tant de courage
Pour vivre et être heureux
Je ferai de ma rage
L’amour si je le peux
Mais je n’y vois plus clair
Et je suis si peureux
Si l’amour c’est la guerre
Si c’est un peu des deux

 

C’est beaucoup plus facile
de se soumettre aux armes
et d’demander l’asile
au milieu du vacarme
« Mon vieux tu en arraches!
Mon vieux relève-toi
Prends tes jambes et puis marche
ton seul ennemi c’est toi! ♪ »
( Massacre à l'Harmonica, Fred Fortin )

 Nous devons certaines découvertes musicales à des gens qui nous sont chers.
Je connaissais déjà Fred, mais assurément pas avec tant d'intensité. Merci Mp! (FLK)

Crédit Photos : Mp et Flk, show de Fred Fortin, décembre 2010