lundi 28 mars 2011

Des armes au café

Valerio, membre de la guérilla guatémaltèque,
il fut également combattant en appui à la révolution sandiniste au Nicaragua.

Après avoir combattu pour la liberté dans un pays qui a connu 36 ans de dictature militaire, les guérilleros ont dû trouver une nouvelle voie pour bâtir l'avenir. Ils ont troqué les outils de guerre contre les outils d'agriculture. Ils ont commencé à récolté l'espoir en semant du café sur leur nouvelle terre d'accueil. (Flk)


Photo : Santa Anita la Union, Guatemala, février 2011

samedi 26 mars 2011

L'Oasis

Refuge qui procure un sentiment de paix et de bien-être.

La traversée du désert peut être longue,
mais le marcheur sait qu'au bout du chemin,
il rencontrera une oasis, un repère tranquille...

Communauté fondée par d'anciens combattants au sein de la guérilla,
Santa Anita est très certainement la plus belle des Oasis
après 36 ans de guerre civile. (Flk)


 
Photos : Santa Anita la Union, Guatemala, février 2011

mardi 22 mars 2011

Je fais donc je suis...

« L'homme n'est rien d'autre que ce qu'il fait...
Rien d'autre que sont projet, il n'existe que dans la mesure où il se réalise,
il n'est donc rien d'autre que l'ensemble de ses actes, rien d'autre que sa vie ».
(L'existentialisme est un humanisme, Jean-Paul Sartre)

Agir en fonction de ses rêves, aspirations, valeurs et convictions et Être.
Même si La route n'est pas claire, le chemin se construit en avançant... (Flk)



Photo : San Gimignano, Italie, novembre 2010

jeudi 17 mars 2011

La Clé...

...Combattre et vaincre ses démons (Flk)



Photo : Florence, Italie décembre 2010

vendredi 4 mars 2011

Instant lucide


Dans l'atmosphère ambiante du froid de l'hiver, la sirène ne se fait pas entendre. Ce qui se passe est à l'intérieur. Debout, Immobile, attendant le signal du prochain deuil à venir. Impuissant devant ce décompte imposé par la vie, l'angoisse remonte en spasme dans la lumière de l'Être. Pire que les cris de douleurs des blessures nouvelles, il y a sans doute, le silence porté par les cicatrices profondes du passé... Les mots ne viennent pas, pas de baume, pas de soulagement. Une accalmie, le temps d'une histoire. Je me sens bête, démuni, je pars. (Flk)